C’est avec enthousiasme que l’Institut des arts figuratifs souhaite la bienvenue à ses 10 nouveaux membres signataires. Nous vous proposons de rencontrer virtuellement les nouveaux artistes qui se joignent à nous en 2023. Nous sommes très fiers et heureux de souhaiter la bienvenue à :
La sélection de ces artistes est l’aboutissement d’un processus d’évaluation rigoureux, conduit par un jury formé d’experts indépendants en arts visuels. Rappelons que les artistes membres signataires de l’IAF sont reconnus pour l’excellence de leur travail artistique en art figuratif. Ils se distinguent par la haute qualité de leur œuvre, tant pour la création, l’exécution technique ainsi que par les faits marquants de leur carrière professionnelle.
Je poursuis toujours ma quête de poésie chromatique avec le souci de dégager le calme et la sérénité dans l’ensemble. L’imperturbabilité. Ma plus grande fascination au niveau pictural est le jeu d’atmosphère. Des scènes au parfum d’humidité. Je peins différents sujets selon les périodes d’inspirations. Depuis les dernières années je m’attarde à l’inépuisable sujet des forêts aux fondus ouateux. Peu importe le sujet, paysage, scènes champêtres, scènes urbaines, personnages… Je conserve toujours la même thématique. Le temps doux, les effets miroitants, les brumes, les parapluies, les flaques d’eau …
J’ai une attirance pour ces moments météo pour le calme qu’ils inspirent et l’introspection qu’ils provoquent. Je prépare les canevas avec un mélange d’acrylique et de mortier de structure léger pour y laisser plus ou moins du relief. Une fois ta toile achevée j’applique un vernis au pinceau.
Je poursuis toujours ma quête de poésie chromatique avec le souci de dégager le calme et la sérénité dans l’ensemble. L’imperturbabilité. Ma plus grande fascination au niveau pictural est le jeu d’atmosphère. Des scènes au parfum d’humidité. Je peins différents sujets selon les périodes d’inspirations. Depuis les dernières années je m’attarde à l’inépuisable sujet des forêts aux fondus ouateux. Peu importe le sujet, paysage, scènes champêtres, scènes urbaines, personnages… Je conserve toujours la même thématique. Le temps doux, les effets miroitants, les brumes, les parapluies, les flaques d’eau …
J’ai une attirance pour ces moments météo pour le calme qu’ils inspirent et l’introspection qu’ils provoquent. Je prépare les canevas avec un mélange d’acrylique et de mortier de structure léger pour y laisser plus ou moins du relief. Une fois ta toile achevée j’applique un vernis au pinceau.
Le bonheur que je ressens depuis mon enfance à entrer en contact avec la nature et à observer les animaux, m’a amené à faire de ceux-ci mes principales sources d’inspiration. J’ai découvert et évolué vers l’hyperréalisme avec l’artiste québécois Jules Bouchard, et le grand maître canadien en art animalier, Robert Bateman. C’est dans ce mouvement que s’inscrit ma démarche artistique et que ma gestuelle prend tout son sens.
Oiseaux ou mammifères, je plonge dans les détails d’une robe de fourrure, d’une peau écaillée et des formes singulières de mes sujets. Mon objectif est de les rendre les plus vivants possible, et leur environnement, plus réel que nature.
J’utilise l’acrylique dilué à l’aide de médiums que j’applique en couches successives jusqu’à ce que j’atteigne la texture et l’opacité désirées pour créer un effet de trois dimensions. Chaque œuvre a pour origine une image. Je collabore à l’occasion avec de talentueux photographes et je prends aussi mes propres photos lors de mes randonnées. Je capte des moments de grandes beautés, parfois insolites, ou empreints de tendresse.
Le bonheur que je ressens depuis mon enfance à entrer en contact avec la nature et à observer les animaux, m’a amené à faire de ceux-ci mes principales sources d’inspiration. J’ai découvert et évolué vers l’hyperréalisme avec l’artiste québécois Jules Bouchard, et le grand maître canadien en art animalier, Robert Bateman. C’est dans ce mouvement que s’inscrit ma démarche artistique et que ma gestuelle prend tout son sens.
Oiseaux ou mammifères, je plonge dans les détails d’une robe de fourrure, d’une peau écaillée et des formes singulières de mes sujets. Mon objectif est de les rendre les plus vivants possible, et leur environnement, plus réel que nature.
J’utilise l’acrylique dilué à l’aide de médiums que j’applique en couches successives jusqu’à ce que j’atteigne la texture et l’opacité désirées pour créer un effet de trois dimensions. Chaque œuvre a pour origine une image. Je collabore à l’occasion avec de talentueux photographes et je prends aussi mes propres photos lors de mes randonnées. Je capte des moments de grandes beautés, parfois insolites, ou empreints de tendresse.
Depuis que je peins, je suis fasciné par le genre humain. Le corps humain peut donner naissance à des milliers de variations, et le moindre changement dans l’expression amène une émotion complètement différente.
Ce que j’essaie de capter dans un portrait ou dans une figure humaine est l’essence même de l’âme, une pensée, une sensation, un moment d’intimité. Cette émotion passe par un choix de couleurs, de textures, mais surtout par le regard.
Mon travail surtout sur toiles de grands formats prend la forme d’un assemblage aux couleurs vives qui se caractérise par l’utilisation de touches de forme rectangulaire qui sont juxtaposées, superposées et orientées de façon essentiellement aléatoire. La texture quant à elle se développe grâce au travail à la spatule qui laisse la trace de l’interaction de l’outil dans la matière témoignage du passage et de la lutte de l’outil avec la matière. J’utilise généralement l’acrylique comme médium auquel je combine quelquefois des agrégats tels que du sable, du verre ou encore des fibres afin d’obtenir une texture qui vient appuyer le sujet.
L’image se bâtit lentement et de façon itérative. Elle prend forme à distance. Dans ce processus, l’évocation et l’émotion sont plus importantes pour moi que la reproduction exacte.
Peut-être que cette obsession de vouloir représenter le corps humain qui n’est qu’un ensemble de courbes par un ensemble de rectangles me provient de ma formation d’ingénieur où j’ai utilisé la modélisation par éléments finis pour analyser des structures complexes.
Ma vision pour le futur est de faire évoluer mon langage pictural en expérimentant et en intégrant de nouvelles marques et de continuer le voyage vers d’autres destinations qui me sont encore inconnues.
Depuis que je peins, je suis fasciné par le genre humain. Le corps humain peut donner naissance à des milliers de variations, et le moindre changement dans l’expression amène une émotion complètement différente.
Ce que j’essaie de capter dans un portrait ou dans une figure humaine est l’essence même de l’âme, une pensée, une sensation, un moment d’intimité. Cette émotion passe par un choix de couleurs, de textures, mais surtout par le regard.
Mon travail surtout sur toiles de grands formats prend la forme d’un assemblage aux couleurs vives qui se caractérise par l’utilisation de touches de forme rectangulaire qui sont juxtaposées, superposées et orientées de façon essentiellement aléatoire. La texture quant à elle se développe grâce au travail à la spatule qui laisse la trace de l’interaction de l’outil dans la matière témoignage du passage et de la lutte de l’outil avec la matière. J’utilise généralement l’acrylique comme médium auquel je combine quelquefois des agrégats tels que du sable, du verre ou encore des fibres afin d’obtenir une texture qui vient appuyer le sujet.
L’image se bâtit lentement et de façon itérative. Elle prend forme à distance. Dans ce processus, l’évocation et l’émotion sont plus importantes pour moi que la reproduction exacte.
Peut-être que cette obsession de vouloir représenter le corps humain qui n’est qu’un ensemble de courbes par un ensemble de rectangles me provient de ma formation d’ingénieur où j’ai utilisé la modélisation par éléments finis pour analyser des structures complexes.
Ma vision pour le futur est de faire évoluer mon langage pictural en expérimentant et en intégrant de nouvelles marques et de continuer le voyage vers d’autres destinations qui me sont encore inconnues.
« Ma force est que tout sort de ma tête. Ma créativité et mon imagination sont très présentes. Je ne reproduis pas des images, je crée à 100 %. »
Né en 1965 à Saint-Eustache, Ovila expose désormais ses œuvres dans le vieux et le Nouveau Monde, de Port-Daniel, en Gaspésie au Musée du Louvre, à Paris.
Car-washer de l’âme ou saltimbanque dans l’adversité
Si l’âme occupe une place primordiale dans l’univers d’Ovila David Huard, c’est autour d’un monde effervescent de mouvements, de sons et de couleurs qu’il gravite depuis les années soixantedix – en marge d’un milieu aux prises avec un rouage dysfonctionnel qui le propulse dans la créativité : dessin, musique, peinture, chorégraphies, mode, décors théâtraux, urbains et champêtres. En dehors de sa galerie-boutique de Percé, il partage sa passion dans le cadre de séances de formation. Il s’est fait remarquer partout au Québec, en Ontario, dans de nombreuses villes américaines et, plus récemment, dans les plus grandes galeries européennes, dont celle du Carrousel du Louvre. Il est invité à exposer en Suisse en 2015 et à Cannes en 2016.
‘’C’est en dessinant toute ma vie que je peux maintenant créer directement sur un canevas. C’est aussi avec le souhait que mes œuvres passent à travers le temps que je me suis mis à travailler avec des médiums et supports de qualités. Après avoir aussi essayé plusieurs médiums c’est l’acrylique qui m’a conquis. En travaillant par couchent minces et en transparence, je me suis perfectionné avec le temps de séchage et avec différentes techniques d’applications. Je commence souvent un tableau sans avoir aucune idée ou je m’en vais. J’ai juste le goût de peindre! Le goût de créer! Je commence donc avec une couleur que j’aime, soit le bleu de Prusse. C’est souvent ma couleur de départ. Je crée mon ambiance dans mon environnement de travail, musique, lumière, je me laisse aller et soudainement, dans le mouvement, le tableau m’indique le chemin et un sujet apparait soudainement.’’
Il se laisse emporter par une inspiration issue de sa propre vie et destinée à toucher la vie d’autrui dans un mouvement allégorique. Ses personnages, ses sujets et l’objet de son inspiration flottent dans un monde de rêve et de bonheur – le miroir de sa propre réalité et la source de son thème : « Imaginer l’imaginaire ».
« Ma force est que tout sort de ma tête. Ma créativité et mon imagination sont très présentes. Je ne reproduis pas des images, je crée à 100 %. »
Né en 1965 à Saint-Eustache, Ovila expose désormais ses œuvres dans le vieux et le Nouveau Monde, de Port-Daniel, en Gaspésie au Musée du Louvre, à Paris.
Car-washer de l’âme ou saltimbanque dans l’adversité
Si l’âme occupe une place primordiale dans l’univers d’Ovila David Huard, c’est autour d’un monde effervescent de mouvements, de sons et de couleurs qu’il gravite depuis les années soixantedix – en marge d’un milieu aux prises avec un rouage dysfonctionnel qui le propulse dans la créativité : dessin, musique, peinture, chorégraphies, mode, décors théâtraux, urbains et champêtres. En dehors de sa galerie-boutique de Percé, il partage sa passion dans le cadre de séances de formation. Il s’est fait remarquer partout au Québec, en Ontario, dans de nombreuses villes américaines et, plus récemment, dans les plus grandes galeries européennes, dont celle du Carrousel du Louvre. Il est invité à exposer en Suisse en 2015 et à Cannes en 2016.
‘’C’est en dessinant toute ma vie que je peux maintenant créer directement sur un canevas. C’est aussi avec le souhait que mes œuvres passent à travers le temps que je me suis mis à travailler avec des médiums et supports de qualités. Après avoir aussi essayé plusieurs médiums c’est l’acrylique qui m’a conquis. En travaillant par couchent minces et en transparence, je me suis perfectionné avec le temps de séchage et avec différentes techniques d’applications. Je commence souvent un tableau sans avoir aucune idée ou je m’en vais. J’ai juste le goût de peindre! Le goût de créer! Je commence donc avec une couleur que j’aime, soit le bleu de Prusse. C’est souvent ma couleur de départ. Je crée mon ambiance dans mon environnement de travail, musique, lumière, je me laisse aller et soudainement, dans le mouvement, le tableau m’indique le chemin et un sujet apparait soudainement.’’
Il se laisse emporter par une inspiration issue de sa propre vie et destinée à toucher la vie d’autrui dans un mouvement allégorique. Ses personnages, ses sujets et l’objet de son inspiration flottent dans un monde de rêve et de bonheur – le miroir de sa propre réalité et la source de son thème : « Imaginer l’imaginaire ».
J’éprouve une fascination pour les gens. Le travail que je poursuis est de reproduire, avec authenticité, des moments de la vie croqués sur le vif. Au-delà d’une simple représentation, je m’exerce à faire ressortir l’émotion émanant de mon protagoniste. Par mon travail, je cherche à livrer un témoignage visuel de mon époque et du rapport entre l’humain et son environnement. Chaque scène témoigne de ma présence en ce lieu et constitue une trace de mon histoire, de mon vécu. Actuellement, c’est la condition féminine au Québec qui m’interpelle et particulièrement la charge mentale de celles-ci.
Cachée derrière ma lentille, je capte des scènes qui servent de base à mon processus créatif. J’observe attentivement, mais je ne me fais pas juge. J’analyse les expressions du visage, le langage du corps et je laisse les émotions m’envahir. Avec empathie, je cherche à me connecter à l’autre pour raconter l’histoire de ce moment dont je suis témoin. Telle une journaliste, je rapporte les faits sans les déformer. Comme l’écrivaine cherche les justes mots pour exprimer sa pensée, c’est par des dessins détaillés que je livre le résultat de mes observations. Je fais des croquis et prends des notes. Viendra ensuite la réalisation de l’œuvre en atelier. Ma quête du vrai et de l’authenticité ne sera jamais sacrifiée pour des critères d’esthétisme et de beauté.
Comme médium, l’utilisation du crayon graphite me permet de réaliser des œuvres finement détaillées, qui mettent le sujet à l’avant-plan. Même si d’autres médiums sont utilisés pour la réalisation de certaines pièces, le graphite est omniprésent dans mes œuvres.
J’éprouve une fascination pour les gens. Le travail que je poursuis est de reproduire, avec authenticité, des moments de la vie croqués sur le vif. Au-delà d’une simple représentation, je m’exerce à faire ressortir l’émotion émanant de mon protagoniste. Par mon travail, je cherche à livrer un témoignage visuel de mon époque et du rapport entre l’humain et son environnement. Chaque scène témoigne de ma présence en ce lieu et constitue une trace de mon histoire, de mon vécu. Actuellement, c’est la condition féminine au Québec qui m’interpelle et particulièrement la charge mentale de celles-ci.
Cachée derrière ma lentille, je capte des scènes qui servent de base à mon processus créatif. J’observe attentivement, mais je ne me fais pas juge. J’analyse les expressions du visage, le langage du corps et je laisse les émotions m’envahir. Avec empathie, je cherche à me connecter à l’autre pour raconter l’histoire de ce moment dont je suis témoin. Telle une journaliste, je rapporte les faits sans les déformer. Comme l’écrivaine cherche les justes mots pour exprimer sa pensée, c’est par des dessins détaillés que je livre le résultat de mes observations. Je fais des croquis et prends des notes. Viendra ensuite la réalisation de l’œuvre en atelier. Ma quête du vrai et de l’authenticité ne sera jamais sacrifiée pour des critères d’esthétisme et de beauté.
Comme médium, l’utilisation du crayon graphite me permet de réaliser des œuvres finement détaillées, qui mettent le sujet à l’avant-plan. Même si d’autres médiums sont utilisés pour la réalisation de certaines pièces, le graphite est omniprésent dans mes œuvres.
Les scènes du quotidien, le simple, le vrai.
Exposer l’essence d’un moment, d’une personne, d’une chose, sa vibrance dans l’univers, sa raison d’être.
J’essaie de me rapprocher du sens réel et pur de la vie, notre vie.
Dans cette recherche de vérité profonde, je tente de capturer la vie en image et espère, par son partage, l’inscrire dans la continuité du temps.
En ce sens, rien n’a de fin et tout s’inscrit dans la continuité. Une chose qui mène a une autre et justifie que chaque chose a sa place dans ce monde.
La plupart de mes tableaux mettent en scène des enfants, des travailleurs ou bien de simples figurants, dans leur propre quotidien, dans leur univers personnel.
Je suis toujours à la recherche de témoignage de vie, par l’expression figurative et contemporaine de la peinture.
C’est cette même peinture qui est ma vibration, mon écho profond.
Les scènes du quotidien, le simple, le vrai.
Exposer l’essence d’un moment, d’une personne, d’une chose, sa vibrance dans l’univers, sa raison d’être.
J’essaie de me rapprocher du sens réel et pur de la vie, notre vie.
Dans cette recherche de vérité profonde, je tente de capturer la vie en image et espère, par son partage, l’inscrire dans la continuité du temps.
En ce sens, rien n’a de fin et tout s’inscrit dans la continuité. Une chose qui mène a une autre et justifie que chaque chose a sa place dans ce monde.
La plupart de mes tableaux mettent en scène des enfants, des travailleurs ou bien de simples figurants, dans leur propre quotidien, dans leur univers personnel.
Je suis toujours à la recherche de témoignage de vie, par l’expression figurative et contemporaine de la peinture.
C’est cette même peinture qui est ma vibration, mon écho profond.
Je peins par plaisir et par instinct. J’aime surtout oser par mes couleurs vives et la lumière qui émane de mes œuvres…
Mes sujets sont d’une présence troublante par leurs regards et surtout par le contraste soutenu des ombres et lumières qui leurs procurent des effets tridimensionnels qui aide au rapprochement, au contact œuvre – spectateur.
L’étape du croquis se fait tout d’abord au crayon de plomb, une simple esquisse pour placer les sujets et l’environnement. .
Par la suite, mon moment plaisir, Je peins une ébauche aux harmonies de Gris DePayne en utilisant mon acrylique tel de l’aquarelle avec différents degrés de transparence et d’opacité … Ce jeux d’ombres et de lumières m’aide à visualiser mon sujet en 3 dimensions le rendant réel et présent. Maintenant tout est possible.. Je laisse la toile prendre vie une couleur à la fois.. Car je peint à même les tubes de couleurs, je me laisse étonner par l’évolution de mes créations.. Les laisse s’exprimer et me séduire.. Mon art est le résultat d’une superposition de couleurs qui s’apprivoisent pour finalement créer un univers d’une harmonie très lumineuse et pure .. Que des couleurs vives et Sans jamais de grisaille car je n’utilise en aucun cas la couleur noire… Que la couleurs dans la couleurs..
Le plaisir c’est qu’il n’y pas de fin alors j’ose espérer explorer ce monde de création encore plusieurs années … Et surtout le partager aux gens qui aiment mon monde coloré et tant attachant.
Je peins par plaisir et par instinct. J’aime surtout oser par mes couleurs vives et la lumière qui émane de mes œuvres…
Mes sujets sont d’une présence troublante par leurs regards et surtout par le contraste soutenu des ombres et lumières qui leurs procurent des effets tridimensionnels qui aide au rapprochement, au contact œuvre – spectateur.
L’étape du croquis se fait tout d’abord au crayon de plomb, une simple esquisse pour placer les sujets et l’environnement. .
Par la suite, mon moment plaisir, Je peins une ébauche aux harmonies de Gris DePayne en utilisant mon acrylique tel de l’aquarelle avec différents degrés de transparence et d’opacité … Ce jeux d’ombres et de lumières m’aide à visualiser mon sujet en 3 dimensions le rendant réel et présent. Maintenant tout est possible.. Je laisse la toile prendre vie une couleur à la fois.. Car je peint à même les tubes de couleurs, je me laisse étonner par l’évolution de mes créations.. Les laisse s’exprimer et me séduire.. Mon art est le résultat d’une superposition de couleurs qui s’apprivoisent pour finalement créer un univers d’une harmonie très lumineuse et pure .. Que des couleurs vives et Sans jamais de grisaille car je n’utilise en aucun cas la couleur noire… Que la couleurs dans la couleurs..
Le plaisir c’est qu’il n’y pas de fin alors j’ose espérer explorer ce monde de création encore plusieurs années … Et surtout le partager aux gens qui aiment mon monde coloré et tant attachant.
Pendant ses études en art, de 1997 à 2002, Sophie Lebeuf (SOFIA) a fait beaucoup d’explorations et d’expérimentations plastiques. C’est ainsi qu’elle en est arrivée à l’utilisation de la bauxite dans sa peinture. Après plusieurs tentatives, ayant appris de ses erreurs, elle est parvenue à travailler avec son médium de prédilection en s’assurant d’utiliser des produits, des liants, des médiums et des vernis sans acide et de qualité. Elle effectue des tests avec succès de solidité et de réaction de ses pigments à la lumière, au froid, à la chaleur, à l’humidité.
Dans une palette de couleurs, volontairement restreinte, SOFIA applique les différentes étapes à l’utilisation de la bauxite qui donne aussitôt une nouvelle intensité aux couleurs utilisées. L’œuvre acquière ainsi sa richesse tonale. Cette poudre, principalement utilisée dans l’industrie de l’aluminerie, apporte une lumière particulière à la coloration qui anime les formes et rehausse l’atmosphère suggérée par l’artiste. Ce rouge-orangé renforce les couleurs; leur donne leur caractère. Le jeu d’ombre et de lumière produit un élan dynamique à sa composition. C’est la dualité d’oxyde rouge et de cobalt qui va, par la suite, supporter toute la composition du tableau même si parfois d’autres teintes et matières y sont ajoutées.
Après avoir débuté par le tachisme (taches créées par son pigment sur sa toile), Sofia en perçoit la ligne directrice et décide alors de son sort, de son sujet. Elle place ensuite ses éléments principaux qui, de fil en aiguille, se construisent et la conduiront à réaliser la composition de l’œuvre. C’est le tableau qui lui en dicte la suite. Il se dessine, parfois de façon complexe, et mêle symbolisme et allégorie. Couleurs et matière modèlent les formes, ajoutent une atmosphère, donnent une puissante sensation de mystère. Les rapports de masse et de contraste s’organisent entre fragilité et force, entre sensibilité et puissance appuyant ainsi la lecture de l’œuvre.
Sophie Lebeuf part de l’émotion pure. Elle saisit le sentiment du moment, le transpose à sa manière, souvent sous la forme chevaline. Cette synergie marquée par ses émotions, fait que ses animaux ne sont jamais de simples bêtes, mais des témoins de sa sensibilité qui portent en eux l’ADN de l’artiste. Ils ont une identité profonde: ils deviennent protecteurs, porteurs d’une expression née de l’émotion. Ils observent, questionnent, amènent une résonance particulière. Cette association avec les animaux et les chevaux est un écho au propre vécu de SOFIA pour qui l’animal a une place importante dans sa vie.
Pendant ses études en art, de 1997 à 2002, Sophie Lebeuf (SOFIA) a fait beaucoup d’explorations et d’expérimentations plastiques. C’est ainsi qu’elle en est arrivée à l’utilisation de la bauxite dans sa peinture. Après plusieurs tentatives, ayant appris de ses erreurs, elle est parvenue à travailler avec son médium de prédilection en s’assurant d’utiliser des produits, des liants, des médiums et des vernis sans acide et de qualité. Elle effectue des tests avec succès de solidité et de réaction de ses pigments à la lumière, au froid, à la chaleur, à l’humidité.
Dans une palette de couleurs, volontairement restreinte, SOFIA applique les différentes étapes à l’utilisation de la bauxite qui donne aussitôt une nouvelle intensité aux couleurs utilisées. L’œuvre acquière ainsi sa richesse tonale. Cette poudre, principalement utilisée dans l’industrie de l’aluminerie, apporte une lumière particulière à la coloration qui anime les formes et rehausse l’atmosphère suggérée par l’artiste. Ce rouge-orangé renforce les couleurs; leur donne leur caractère. Le jeu d’ombre et de lumière produit un élan dynamique à sa composition. C’est la dualité d’oxyde rouge et de cobalt qui va, par la suite, supporter toute la composition du tableau même si parfois d’autres teintes et matières y sont ajoutées.
Après avoir débuté par le tachisme (taches créées par son pigment sur sa toile), Sofia en perçoit la ligne directrice et décide alors de son sort, de son sujet. Elle place ensuite ses éléments principaux qui, de fil en aiguille, se construisent et la conduiront à réaliser la composition de l’œuvre. C’est le tableau qui lui en dicte la suite. Il se dessine, parfois de façon complexe, et mêle symbolisme et allégorie. Couleurs et matière modèlent les formes, ajoutent une atmosphère, donnent une puissante sensation de mystère. Les rapports de masse et de contraste s’organisent entre fragilité et force, entre sensibilité et puissance appuyant ainsi la lecture de l’œuvre.
Sophie Lebeuf part de l’émotion pure. Elle saisit le sentiment du moment, le transpose à sa manière, souvent sous la forme chevaline. Cette synergie marquée par ses émotions, fait que ses animaux ne sont jamais de simples bêtes, mais des témoins de sa sensibilité qui portent en eux l’ADN de l’artiste. Ils ont une identité profonde: ils deviennent protecteurs, porteurs d’une expression née de l’émotion. Ils observent, questionnent, amènent une résonance particulière. Cette association avec les animaux et les chevaux est un écho au propre vécu de SOFIA pour qui l’animal a une place importante dans sa vie.
Née de parents possédant des talents artistiques, Lucie Lucas est attirée très jeune par le dessin. Dans son adolescence, elle expérimente différentes formes d’art : le théâtre, la danse, la photographie, ect…mais elle se retrouve toujours avec une tablette à dessin et des crayons en mains. Elle dessine des personnages, fait des caricatures de ses amis, dessine des objets, des paysages et laisse aller son imaginaire.
Au début des années 80, elle s’inscrit à divers cours de peinture et apprivoise les notions des couleurs, expérimentant aussi différents médiums dont le fusain, le lavis à l’encre et la peinture à l’huile.
Elle découvre le pastel sec. C’est une révélation! Commençant à en faire pour son coté pratique (moins long à ramasser et à nettoyer), elle s’enthousiasme rapidement pour ce médium. Appliquer ces couleurs vibrantes avec ces bâtonnets, l’enchante au plus haut point. Elle aime ce contact ‘’intime’’ de la craie et de ses doigts sur le support ; c’est comme si elle ‘’sculptait’’ son sujet. Avec l’expérience, elle apprécie la spontanéité et la rapidité d’exécution du pastel. Développant une véritable passion pour le pastel, elle s’en sert pour exprimer ses émotions par les couleurs intenses des pigments pratiquement purs des pastels secs.
De plus la diversité de papiers et supports sur lesquels elle travaille, apporte encore plus à l’œuvre en cours d’exécution puisque le défi est d’intégrer la texture et la couleur du papier ou du support à l’œuvre ellemême, ce qu’elle découvre à chaque fois avec beaucoup de plaisir.
Les œuvres de Lucie Lucas témoignent d’une bonne maîtrise de la technique du pastel sec et du dessin. Les œuvres de l’artiste charment par sa vision du monde qui l’entoure et par ses couleurs vibrantes et harmonieuses. Ses œuvres intimistes dégagent une poésie, une joie de vivre, un hommage à la beauté, souvent empreintes de sérénité, voire d’une certaine spiritualité. . Elle privilégie l’art figuratif réaliste à tendance contemporaine.
De par sa dualité (elle est gémeaux), l’artiste peint aussi bien des paysages que des personnages. Elle aime peindre une série de tableaux à partir d’un thème précis, exploitant sa vision du sujet sous différents aspects. Elle s’inspire là ou son regard se porte ce qui veut dire que le thème peut changer au fil des ans.
Présentement elle travaille sur les arbres ce qui comprend feuillages, textures de tronc, etc. L’arbre représente pour elle la solidité, la majesté et elle éprouve beaucoup d’admiration et du respect pour sa beauté. L’arbre est le soutien de toute la nature vivante terrestre.
Elle recherche des façons de faire et expérimente ses propres fonds texturés et travaille le pastel par couches successives ou par mélange de couleurs et juxtaposition. .
Elle continuera d’exploiter encore plus profondément les qualités de ce beau médium qu’est le pastel sec.. Elle continuera de promouvoir le pastel sec par l’entremise des galéristes, par l’enseignement, les expositions, les symposiums de peinture et par le web afin que les gens découvrent et apprécient le pastel sec en lui faisant une place entière au même titre que les autres médiums dans le paysage de l’art visuel au Québec et ailleurs.
Née de parents possédant des talents artistiques, Lucie Lucas est attirée très jeune par le dessin. Dans son adolescence, elle expérimente différentes formes d’art : le théâtre, la danse, la photographie, ect…mais elle se retrouve toujours avec une tablette à dessin et des crayons en mains. Elle dessine des personnages, fait des caricatures de ses amis, dessine des objets, des paysages et laisse aller son imaginaire.
Au début des années 80, elle s’inscrit à divers cours de peinture et apprivoise les notions des couleurs, expérimentant aussi différents médiums dont le fusain, le lavis à l’encre et la peinture à l’huile.
Elle découvre le pastel sec. C’est une révélation! Commençant à en faire pour son coté pratique (moins long à ramasser et à nettoyer), elle s’enthousiasme rapidement pour ce médium. Appliquer ces couleurs vibrantes avec ces bâtonnets, l’enchante au plus haut point. Elle aime ce contact ‘’intime’’ de la craie et de ses doigts sur le support ; c’est comme si elle ‘’sculptait’’ son sujet. Avec l’expérience, elle apprécie la spontanéité et la rapidité d’exécution du pastel. Développant une véritable passion pour le pastel, elle s’en sert pour exprimer ses émotions par les couleurs intenses des pigments pratiquement purs des pastels secs.
De plus la diversité de papiers et supports sur lesquels elle travaille, apporte encore plus à l’œuvre en cours d’exécution puisque le défi est d’intégrer la texture et la couleur du papier ou du support à l’œuvre ellemême, ce qu’elle découvre à chaque fois avec beaucoup de plaisir.
Les œuvres de Lucie Lucas témoignent d’une bonne maîtrise de la technique du pastel sec et du dessin. Les œuvres de l’artiste charment par sa vision du monde qui l’entoure et par ses couleurs vibrantes et harmonieuses. Ses œuvres intimistes dégagent une poésie, une joie de vivre, un hommage à la beauté, souvent empreintes de sérénité, voire d’une certaine spiritualité. . Elle privilégie l’art figuratif réaliste à tendance contemporaine.
De par sa dualité (elle est gémeaux), l’artiste peint aussi bien des paysages que des personnages. Elle aime peindre une série de tableaux à partir d’un thème précis, exploitant sa vision du sujet sous différents aspects. Elle s’inspire là ou son regard se porte ce qui veut dire que le thème peut changer au fil des ans.
Présentement elle travaille sur les arbres ce qui comprend feuillages, textures de tronc, etc. L’arbre représente pour elle la solidité, la majesté et elle éprouve beaucoup d’admiration et du respect pour sa beauté. L’arbre est le soutien de toute la nature vivante terrestre.
Elle recherche des façons de faire et expérimente ses propres fonds texturés et travaille le pastel par couches successives ou par mélange de couleurs et juxtaposition. .
Elle continuera d’exploiter encore plus profondément les qualités de ce beau médium qu’est le pastel sec.. Elle continuera de promouvoir le pastel sec par l’entremise des galéristes, par l’enseignement, les expositions, les symposiums de peinture et par le web afin que les gens découvrent et apprécient le pastel sec en lui faisant une place entière au même titre que les autres médiums dans le paysage de l’art visuel au Québec et ailleurs.
Je suis une artiste peintre de la région maskoutaine. Il y a maintenant plus de 25 ans que je tiens pinceaux et spatules à la main. J’explore continuellement mon jardin intérieur que je vous présente régulièrement avec amour. J’ai la ferme conviction que mon plus grand désir est cet accomplissement que procure cette expression de l’art et qui contribue à colorer quotidiennement mon âme et ce, pour mon plus grand bonheur.
Je suis une artiste très diversifiée et je m’amuse à peindre à l’huile. Je travaille majoritairement à la spatule plusieurs sujets notamment des animaux, des scènes marines, des musiciens et bien d’autres. Ce sont cependant certains évènements dramatiques de la vie qui ont forgés mon art et favoriser l’émergence de l’émotion qui sommeillait confortablement en moi. On dit que mes œuvres expriment une âme, un sentiment, une mélodie, une scène qui se reflète dans un mouvement continu où l’on aimerait plonger l’espace d’un moment. Je vénère la beauté dans la simplicité, j’exprime la vie sur mes canevas comme je la vois et la ressens. J’aime exploiter la lumière, je fige et dirige les regards vers l’essentiel en brouillant volontairement les détails. Je décris ma démarche comme suit «Je peins comme je vis». Lorsque je suis en harmonie avec mon sujet, je m’abandonne complètement à mon œuvre; c’est un moment magique, une complicité parfaite entre mes émotions, mon regard et mes mains». Bienvenu dans mon univers!
Je suis une artiste peintre de la région maskoutaine. Il y a maintenant plus de 25 ans que je tiens pinceaux et spatules à la main. J’explore continuellement mon jardin intérieur que je vous présente régulièrement avec amour. J’ai la ferme conviction que mon plus grand désir est cet accomplissement que procure cette expression de l’art et qui contribue à colorer quotidiennement mon âme et ce, pour mon plus grand bonheur.
Je suis une artiste très diversifiée et je m’amuse à peindre à l’huile. Je travaille majoritairement à la spatule plusieurs sujets notamment des animaux, des scènes marines, des musiciens et bien d’autres. Ce sont cependant certains évènements dramatiques de la vie qui ont forgés mon art et favoriser l’émergence de l’émotion qui sommeillait confortablement en moi. On dit que mes œuvres expriment une âme, un sentiment, une mélodie, une scène qui se reflète dans un mouvement continu où l’on aimerait plonger l’espace d’un moment. Je vénère la beauté dans la simplicité, j’exprime la vie sur mes canevas comme je la vois et la ressens. J’aime exploiter la lumière, je fige et dirige les regards vers l’essentiel en brouillant volontairement les détails. Je décris ma démarche comme suit «Je peins comme je vis». Lorsque je suis en harmonie avec mon sujet, je m’abandonne complètement à mon œuvre; c’est un moment magique, une complicité parfaite entre mes émotions, mon regard et mes mains». Bienvenu dans mon univers!