Menu
Menu
C’est avec enthousiasme que l’Institut des arts figuratifs souhaite la bienvenue à ses 10 nouveaux membres signataires. Nous vous proposons de rencontrer virtuellement les nouveaux artistes qui se joignent à nous en 2022. Nous sommes très fiers et heureux de souhaiter la bienvenue à :
La sélection de ces artistes est l’aboutissement d’un processus d’évaluation rigoureux, conduit par un jury formé d’experts indépendants en arts visuels. Rappelons que les artistes membres signataires de l’IAF sont reconnus pour l’excellence de leur travail artistique en art figuratif. Ils se distinguent par la haute qualité de leur œuvre, tant pour la création, l’exécution technique ainsi que par les faits marquants de leur carrière professionnelle.
« Je peint ce que je vois »
JE SUIS UN ARTISTE DANS L’ÂME, RICHE D’UNE DÉMARCHE ARTISTIQUE DE PLUSIEURS ANNÉES À TRAVERS DIFFÉRENTS MÉDIUMS, JE VOUS PRÉSENTES DES OEUVRES À L’ACRYLIQUE PEINTES SUR LE MOTIF OU DANS UN ÉLAN D’ABSTRACTION DE GRANDS FORMATS.
MA PALETTE COLORÉE ALLIÉE À UNE GESTUELLE À LA FOIS NERVEUSE ET PRÉCISE, DONNE NAISSANCE À DES SCÈNES DE DÉTENTES ET D’ÉMOTIONS, DES OEUVRES TONIFIANTES ET STIMULANTES DE COULEURS !
« Je peint ce que je vois »
JE SUIS UN ARTISTE DANS L’ÂME, RICHE D’UNE DÉMARCHE ARTISTIQUE DE PLUSIEURS ANNÉES À TRAVERS DIFFÉRENTS MÉDIUMS, JE VOUS PRÉSENTES DES OEUVRES À L’ACRYLIQUE PEINTES SUR LE MOTIF OU DANS UN ÉLAN D’ABSTRACTION DE GRANDS FORMATS.
MA PALETTE COLORÉE ALLIÉE À UNE GESTUELLE À LA FOIS NERVEUSE ET PRÉCISE, DONNE NAISSANCE À DES SCÈNES DE DÉTENTES ET D’ÉMOTIONS, DES OEUVRES TONIFIANTES ET STIMULANTES DE COULEURS !
Autodidacte, engagée à la cause animale, je suis artiste peintre professionnelle depuis 1989. J’ai toujours été fascinée par les animaux et c’est par mes œuvres que je transmets cette passion. Un de mes sujets préférés est l’oie domestique, tout simplement parce qu’elle ressemble à l’humain, étant grégaire et bipède. Je me permets de l’humaniser dans son attitude et sa physionomie, sans changer sa morphologie. Ces petits volatiles me permettent de passer par l’humour afin de conscientiser les gens au fait que les animaux sont doués de sensibilité et d’émotions. J’aime travailler autant les animaux domestiques que sauvages. Je préfère favoriser l’animal au détriment de la précision de son milieu. La nature, les parcs animaliers et les éleveurs sont mes lieux d’observation. Avant de peindre un animal, il est essentiel que je connaisse très bien mon sujet. C’est pour cette raison que j’étudie sa morphologie et que j’observe ses comportements. Je suis plus que préoccupée par les conséquences du réchauffement climatique et le sort réservé à l’humanité et à tous les êtres vivants. Devant un avenir des plus incertains, les animaux demeurent un symbole de résilience et d’endurance. Je garde espoir qu’ils sauront s’adapter et que l’humain réalisera une plus grande prise de conscience sur l’importance de respecter et de préserver toutes espèces vivantes. Chaque être a sa place sur terre et a son rôle dans l’écosystème. J’ose espérer que mon art amène à cette réflexion. Nous n’avons que cette toute petite planète alors c’est un devoir de la partager et de la protéger.
Autodidacte, engagée à la cause animale, je suis artiste peintre professionnelle depuis 1989. J’ai toujours été fascinée par les animaux et c’est par mes œuvres que je transmets cette passion. Un de mes sujets préférés est l’oie domestique, tout simplement parce qu’elle ressemble à l’humain, étant grégaire et bipède. Je me permets de l’humaniser dans son attitude et sa physionomie, sans changer sa morphologie. Ces petits volatiles me permettent de passer par l’humour afin de conscientiser les gens au fait que les animaux sont doués de sensibilité et d’émotions. J’aime travailler autant les animaux domestiques que sauvages. Je préfère favoriser l’animal au détriment de la précision de son milieu. La nature, les parcs animaliers et les éleveurs sont mes lieux d’observation. Avant de peindre un animal, il est essentiel que je connaisse très bien mon sujet. C’est pour cette raison que j’étudie sa morphologie et que j’observe ses comportements. Je suis plus que préoccupée par les conséquences du réchauffement climatique et le sort réservé à l’humanité et à tous les êtres vivants. Devant un avenir des plus incertains, les animaux demeurent un symbole de résilience et d’endurance. Je garde espoir qu’ils sauront s’adapter et que l’humain réalisera une plus grande prise de conscience sur l’importance de respecter et de préserver toutes espèces vivantes. Chaque être a sa place sur terre et a son rôle dans l’écosystème. J’ose espérer que mon art amène à cette réflexion. Nous n’avons que cette toute petite planète alors c’est un devoir de la partager et de la protéger.
Je crois que l’art touche au-delà des mots.
Elle rejoint les spectateurs dans un espace unique, intime et innommable.
Et c’est dans cet espace particulier à chacun que mes oeuvres établissent un dialogue.
Dans le jeu de la matière et des traces, le sujet se révèle avec les secrets qui lui sont propres. Je dessine une poésie de la quête identitaire, de la recherche de soi dans l’intimité et la vulnérabilité d’une pause, d’un moment de silence baigné de lumière.
À un niveau plus technique, je cherche à adapter les techniques traditionnelles au contenu contemporain en explorant les clair-obscur à travers la technique du fusain sablé et en redonnant ses lettres de noblesses aux techniques de peinture traditionnelles. L’image se définissant en plusieurs étapes de la sous couche, à la grisaille, pour terminer par les couches transparentes de couleurs. Le temps devient créateur de l’oeuvre car son processus en est tributaire
Mon oeuvre s’inscrit dans la tradition du réalisme contemporain, qui je crois est en développement et peu représentée dans le paysage artistique québécois. Je cherche à travers mon travail à développer ce mode de représentation et explorer la façon unique dont l’art figuratif rejoint le spectateur. Fascinée par une figuration transformée, mes œuvres s’élaborent entre ce qui est montré et ce qui se devine, entre la représentation et la résonance que l’image trouve dans le vécu de celui qui la regarde.
Je crois que l’art touche au-delà des mots.
Elle rejoint les spectateurs dans un espace unique, intime et innommable.
Et c’est dans cet espace particulier à chacun que mes oeuvres établissent un dialogue.
Dans le jeu de la matière et des traces, le sujet se révèle avec les secrets qui lui sont propres. Je dessine une poésie de la quête identitaire, de la recherche de soi dans l’intimité et la vulnérabilité d’une pause, d’un moment de silence baigné de lumière.
À un niveau plus technique, je cherche à adapter les techniques traditionnelles au contenu contemporain en explorant les clair-obscur à travers la technique du fusain sablé et en redonnant ses lettres de noblesses aux techniques de peinture traditionnelles. L’image se définissant en plusieurs étapes de la sous couche, à la grisaille, pour terminer par les couches transparentes de couleurs. Le temps devient créateur de l’oeuvre car son processus en est tributaire
Mon oeuvre s’inscrit dans la tradition du réalisme contemporain, qui je crois est en développement et peu représentée dans le paysage artistique québécois. Je cherche à travers mon travail à développer ce mode de représentation et explorer la façon unique dont l’art figuratif rejoint le spectateur. Fascinée par une figuration transformée, mes œuvres s’élaborent entre ce qui est montré et ce qui se devine, entre la représentation et la résonance que l’image trouve dans le vécu de celui qui la regarde.
Le cheval est présentement au coeur de mes inspirations.
C’est une magnifique jonglerie entre le cheval et moi que de le peindre et le dessiner!
Poser son âme sur la toile en même temps que de rendre le graphisme de son corps.
Dépeindre sa sensibilité, sa puissance sauvage, sa force et son amour de liberté, saura toujours
m’émouvoir.
Cet heureux rapport me touche car cela rejoint ma démarche artistique basée sur la
« Liberté d’être ». Je crée des textures afin que chacun ait sa propre empreinte. J’utilise le Gesso appliqué sur panneau de bois, puis utilise l’aquarelle et le pastel. J’aime donner du caractère, que ce soit en exploitant le mouvement des crinières, les lumières ou les détails des traits, par la gestuelle du papier de verre sur mes tonalités contrastées. J’ai mis au point ma technique au fil du temps par l’expérimentation et la recherche.
Le cheval est présentement au coeur de mes inspirations.
C’est une magnifique jonglerie entre le cheval et moi que de le peindre et le dessiner!
Poser son âme sur la toile en même temps que de rendre le graphisme de son corps.
Dépeindre sa sensibilité, sa puissance sauvage, sa force et son amour de liberté, saura toujours
m’émouvoir.
Cet heureux rapport me touche car cela rejoint ma démarche artistique basée sur la
« Liberté d’être ». Je crée des textures afin que chacun ait sa propre empreinte. J’utilise le Gesso appliqué sur panneau de bois, puis utilise l’aquarelle et le pastel. J’aime donner du caractère, que ce soit en exploitant le mouvement des crinières, les lumières ou les détails des traits, par la gestuelle du papier de verre sur mes tonalités contrastées. J’ai mis au point ma technique au fil du temps par l’expérimentation et la recherche.
L’art a toujours fait partie de ma vie. Artiste peintre, illustratrice pour livres d’enfants, directrice artistique. Depuis mon enfance, je dessine, crée, imagine. D’abord attirée par l’huile, c’est quelques années plus tard que je découvre l’aquarelle. Conquise par sa spontanéité, sa douceur, sa fluidité, celle-ci devint rapidement mon médium de prédilection. L’aquarelle a ses caprices, elle est pleine de surprises, j’aime relever les défis qu’elle m’offre.
J’ai fait mes débuts à l’aquarelle en 2001 à l’atelier d’art à Saguenay, j’ai poursuivi par moi-même en parcourant plusieurs livres d’art, de techniques et de grands maîtres, dont certains de ces ouvrages demeurent précieux. Mon désir d’apprendre toujours plus, m’a amené à étudier pendant 4 ans auprès de madame Pauline Cauchon, membre d’honneur SCA et artiste de renom.
Ma passion évolue et ne cesse de grandir, alimentée par mon émerveillement pour tout être vivant. Mes créations sont intimement liées à mon amour pour la nature et ses habitants. J’observe les différents comportements, leurs façons d’interagir entre eux, pour mieux les comprendre, les connaître, afin d’exprimer, ressentir et rendre l’émotion. C’est avec un souci du détail, des couleurs pleines d’énergie, que je livre ces moments magiques.
Mon style est figuratif ponctué d’un petit côté ludique. Chacune de mes œuvres raconte une histoire empreinte d’une émotion. Je vous laisse la découvrir et vous l’approprier afin qu’elle devienne votre histoire. Fraicheur, bonheur, amour, quiétude, voilà l’essence même de mes œuvres. Un hommage à la vie!
Membre signataire de la Société canadienne de l’aquarelle
Membre signataire de l’Institut des arts figuratifs
Membre du Mondial art académia
L’art a toujours fait partie de ma vie. Artiste peintre, illustratrice pour livres d’enfants, directrice artistique. Depuis mon enfance, je dessine, crée, imagine. D’abord attirée par l’huile, c’est quelques années plus tard que je découvre l’aquarelle. Conquise par sa spontanéité, sa douceur, sa fluidité, celle-ci devint rapidement mon médium de prédilection. L’aquarelle a ses caprices, elle est pleine de surprises, j’aime relever les défis qu’elle m’offre.
J’ai fait mes débuts à l’aquarelle en 2001 à l’atelier d’art à Saguenay, j’ai poursuivi par moi-même en parcourant plusieurs livres d’art, de techniques et de grands maîtres, dont certains de ces ouvrages demeurent précieux. Mon désir d’apprendre toujours plus, m’a amené à étudier pendant 4 ans auprès de madame Pauline Cauchon, membre d’honneur SCA et artiste de renom.
Ma passion évolue et ne cesse de grandir, alimentée par mon émerveillement pour tout être vivant. Mes créations sont intimement liées à mon amour pour la nature et ses habitants. J’observe les différents comportements, leurs façons d’interagir entre eux, pour mieux les comprendre, les connaître, afin d’exprimer, ressentir et rendre l’émotion. C’est avec un souci du détail, des couleurs pleines d’énergie, que je livre ces moments magiques.
Mon style est figuratif ponctué d’un petit côté ludique. Chacune de mes œuvres raconte une histoire empreinte d’une émotion. Je vous laisse la découvrir et vous l’approprier afin qu’elle devienne votre histoire. Fraicheur, bonheur, amour, quiétude, voilà l’essence même de mes œuvres. Un hommage à la vie!
Membre signataire de la Société canadienne de l’aquarelle
Membre signataire de l’Institut des arts figuratifs
Membre du Mondial art académia
Originaire de Beloeil, Philippe Giroux vit depuis près de 50 ans à Matane, aux portes de la Gaspésie. Plutôt intéressé par le sport à l’adolescence, son intérêt pour les arts n’apparu qu’au collège, vers 1977. Il y suivi quelques cours mais son initiation à la peinture se fait de façon autodidacte au début des années ’80. Il réalise ses premières murales au début des années ’90, puis s’initie aux techniques de peinture décorative, aux faux-finis, aux patines et aux imitations de matières diverses. Le dessin, le graphisme, le copy art, la peinture sur meuble, la peinture spécialisée, la décoration et le muralisme l’auront tranquillement conduit vers la peinture sur toile. En 2014, il se tourne définitivement vers une carrière professionnelle d’artiste-peintre.
Giroux peint à l’acrylique en applications lisses, des toiles réalistes, voir hyperréalistes aux forts contrastes. Il peint la musique des eaux, des ruisseaux et des rivières cristallines. Les ruisseaux l’inspirent particulièrement par la quantité de micro-paysages qu’il y découvre lors de ses randonnées et de ses parties de pêche. La réunion des éléments, l’eau, le bois, le roc, la végétation, est une source intarissable d’inspiration. Occasionnellement, il s’adonne aussi à l’art animalier ainsi qu’à l’art du portrait. Et quand l’éventualité d’un projet de muralisme se profile, l’attrait du grand format se fait sentir.
Originaire de Beloeil, Philippe Giroux vit depuis près de 50 ans à Matane, aux portes de la Gaspésie. Plutôt intéressé par le sport à l’adolescence, son intérêt pour les arts n’apparu qu’au collège, vers 1977. Il y suivi quelques cours mais son initiation à la peinture se fait de façon autodidacte au début des années ’80. Il réalise ses premières murales au début des années ’90, puis s’initie aux techniques de peinture décorative, aux faux-finis, aux patines et aux imitations de matières diverses. Le dessin, le graphisme, le copy art, la peinture sur meuble, la peinture spécialisée, la décoration et le muralisme l’auront tranquillement conduit vers la peinture sur toile. En 2014, il se tourne définitivement vers une carrière professionnelle d’artiste-peintre.
Giroux peint à l’acrylique en applications lisses, des toiles réalistes, voir hyperréalistes aux forts contrastes. Il peint la musique des eaux, des ruisseaux et des rivières cristallines. Les ruisseaux l’inspirent particulièrement par la quantité de micro-paysages qu’il y découvre lors de ses randonnées et de ses parties de pêche. La réunion des éléments, l’eau, le bois, le roc, la végétation, est une source intarissable d’inspiration. Occasionnellement, il s’adonne aussi à l’art animalier ainsi qu’à l’art du portrait. Et quand l’éventualité d’un projet de muralisme se profile, l’attrait du grand format se fait sentir.
À la suite d’une formation en graphisme au Collège Ahuntsic en 1986, Isabelle Langevin choisit de s’orienter vers l’illustration, et réalise un grand nombre de couvertures de romans jeunesse et livres pour enfants. Attirée par les arts décoratifs, elle crée également des enseignes et des meubles peints à la main. Lors d’un voyage en Europe en 2012, elle a une véritable révélation. Imprégnée par les oeuvres des préraphaélites, symbolistes et nabis, elle commence à peindre à l’huile. Les expériences acquises lui permettent d’explorer son propre univers. Fascinée par l’être humain, elle cherche à capter son regard, jusqu’à saisir la tension intérieure qui en émane. Que ce soit dans la solitude, dans sa relation aux autres et au vivant, la femme surtout, lui inspire une interprétation poétique. Souvent la nature ou des ambiances et lieux rêvés se font les complices de son existence. Au fil des toiles, elle réalise qu’un geste moins précis apporte souvent plus de vérité. Elle expérimente alors l’acrylique sur papier, pour ensuite maroufler sur toile. Plus vivant, le mouvement s’apparente au sketch, créant une impression fugitive. Évitant l’anecdote, elle aime laisser au tableau sa part de mystère. Le sujet s’efface derrière le traitement, devenant prétexte à une expression picturale de simplification et d’harmonie.
Isabelle Langevin vit à Montréal. Elle a remporté les 1er prix du Festival des Arts de Mascouche et de la Galerie art[o] en 2019, de l’expo-concours Arts Sutton en 2020 et celui de Armand Vaillancourt à la Rencontre des arts en 2021.
À la suite d’une formation en graphisme au Collège Ahuntsic en 1986, Isabelle Langevin choisit de s’orienter vers l’illustration, et réalise un grand nombre de couvertures de romans jeunesse et livres pour enfants. Attirée par les arts décoratifs, elle crée également des enseignes et des meubles peints à la main. Lors d’un voyage en Europe en 2012, elle a une véritable révélation. Imprégnée par les oeuvres des préraphaélites, symbolistes et nabis, elle commence à peindre à l’huile. Les expériences acquises lui permettent d’explorer son propre univers. Fascinée par l’être humain, elle cherche à capter son regard, jusqu’à saisir la tension intérieure qui en émane. Que ce soit dans la solitude, dans sa relation aux autres et au vivant, la femme surtout, lui inspire une interprétation poétique. Souvent la nature ou des ambiances et lieux rêvés se font les complices de son existence. Au fil des toiles, elle réalise qu’un geste moins précis apporte souvent plus de vérité. Elle expérimente alors l’acrylique sur papier, pour ensuite maroufler sur toile. Plus vivant, le mouvement s’apparente au sketch, créant une impression fugitive. Évitant l’anecdote, elle aime laisser au tableau sa part de mystère. Le sujet s’efface derrière le traitement, devenant prétexte à une expression picturale de simplification et d’harmonie.
Isabelle Langevin vit à Montréal. Elle a remporté les 1er prix du Festival des Arts de Mascouche et de la Galerie art[o] en 2019, de l’expo-concours Arts Sutton en 2020 et celui de Armand Vaillancourt à la Rencontre des arts en 2021.
Je peins pour plus de 24 ans et j’ai acquis mes techniques en peinture par le biais de cours d’art avec des peintre de renoms, des cours universitaires en art plastique, et des ateliers offert par différent artistes. Ma démarche artistique se démarque par un constant raffinement, en vue de l’excellence artistique. J’essaie de réussir à convier l’atmosphère et émotion pertinente pour le sujet interprété.
Du paysage à la nature morte, en plus de m’adonner au portrait humain et animalier, j’exerce la peinture à l’huile avec une technique apprise en enfance qui était à l’époque beaucoup plus expressive. Maintenant ma technique est raffinée et beaucoup plus encré dans l’utilisation des gris afin d’arriver à un fini beaucoup plus impressionniste. Ce qui me distingue et revient beaucoup dans le différent article écrit à mon sujet est une apprêtassions de la peinture de façons poétique et qui permet à l’audience de s’approprier le sujet. Je suis fasciné avec l’esthétique et beauté des sujet qui me tienne à cœur. Je n’ai aucun autre agenda que de convié la gaieté et harmonie dans mes tableaux.
Je peins pour plus de 24 ans et j’ai acquis mes techniques en peinture par le biais de cours d’art avec des peintre de renoms, des cours universitaires en art plastique, et des ateliers offert par différent artistes. Ma démarche artistique se démarque par un constant raffinement, en vue de l’excellence artistique. J’essaie de réussir à convier l’atmosphère et émotion pertinente pour le sujet interprété. Du paysage à la nature morte, en plus de m’adonner au portrait humain et animalier, j’exerce la peinture à l’huile avec une technique apprise en enfance qui était à l’époque beaucoup plus expressive. Maintenant ma technique est raffinée et beaucoup plus encré dans l’utilisation des gris afin d’arriver à un fini beaucoup plus impressionniste. Ce qui me distingue et revient beaucoup dans le différent article écrit à mon sujet est une apprêtassions de la peinture de façons poétique et qui permet à l’audience de s’approprier le sujet. Je suis fasciné avec l’esthétique et beauté des sujet qui me tienne à cœur. Je n’ai aucun autre agenda que de convié la gaieté et harmonie dans mes tableaux.
Né le 10 novembre 1950 à Calais, France, Daniel OLIVIER peint et dessine depuis plus de cinquante ans. De formation figurative, académique, c’est un Artiste-Auteur, peintre professionnel. Il est membre de l’ADAGP , de la Fondation Taylor et membre de Mondial Art Académia. Il vit et peint à AUVERS SUR OISE, France. Première exposition personnelle en Mai 1970.
En 2020, retour à la figuration, recentré sur le dessin et la peinture, source de sa formation, avec un travail sur la transparence et le glacis, au service d’un imaginaire symbolique, poétique et contemporain . Son maître mot: « joie de peindre et partage ». Il aime le travail en public et la rencontre.
En France, dans le Val d’Oise: Prix de L’Académie, en 1970, et de la ville en 1994, à Deuil la Barre; médaille d’Or du Dessin au Salon des Beaux Arts d’Enghien les Bains en 1993; médaille de bronze au Salon d’Herblay en 1996; au Salon « La Palette » d’Auvers sur Oise: coup de cœur du comité en 2018, et prix de la Municipalité en 2020. Prix du Jeune Public au Salon de Neuville sur Oise, et Prix du Jury au Salon de Roissy en France en 2021. Prix du Cercle des Arts de Plessis-Bouchard, et Prix de la Peinture au Salon Printemps de Neuville, en 2022. Prix du Surréalisme, Académie de l’Ecole de Loire, AIEL, 2022. Avec Mondial Art Académia : primé au concours international des Galeries en 2016, et 2021.
En 2021/2022: Salon d’Automne, Paris, Salon Art Capital, Comparaison et Salon des Artistes Français, Paris.
Référencé et côté sur Artprice, dans ” la côte des peintres- Akoun”, sur I-CAC..
En collections publiques et privées en France et à l’étranger.
Né le 10 novembre 1950 à Calais, France, Daniel OLIVIER peint et dessine depuis plus de cinquante ans. De formation figurative, académique, c’est un Artiste-Auteur, peintre professionnel. Il est membre de l’ADAGP , de la Fondation Taylor et membre de Mondial Art Académia. Il vit et peint à AUVERS SUR OISE, France. Première exposition personnelle en Mai 1970.
En 2020, retour à la figuration, recentré sur le dessin et la peinture, source de sa formation, avec un travail sur la transparence et le glacis, au service d’un imaginaire symbolique, poétique et contemporain . Son maître mot: « joie de peindre et partage ». Il aime le travail en public et la rencontre.
En France, dans le Val d’Oise: Prix de L’Académie, en 1970, et de la ville en 1994, à Deuil la Barre; médaille d’Or du Dessin au Salon des Beaux Arts d’Enghien les Bains en 1993; médaille de bronze au Salon d’Herblay en 1996; au Salon « La Palette » d’Auvers sur Oise: coup de cœur du comité en 2018, et prix de la Municipalité en 2020. Prix du Jeune Public au Salon de Neuville sur Oise, et Prix du Jury au Salon de Roissy en France en 2021. Prix du Cercle des Arts de Plessis-Bouchard, et Prix de la Peinture au Salon Printemps de Neuville, en 2022. Prix du Surréalisme, Académie de l’Ecole de Loire, AIEL, 2022. Avec Mondial Art Académia : primé au concours international des Galeries en 2016, et 2021.
En 2021/2022: Salon d’Automne, Paris, Salon Art Capital, Comparaison et Salon des Artistes Français, Paris.
Référencé et côté sur Artprice, dans ” la côte des peintres- Akoun”, sur I-CAC..
En collections publiques et privées en France et à l’étranger.
Comme n’importe quel corps qui se transforme avec l’âge, la matière à sculpter n’est pas moins soumise à cette manœuvre d’élagage : mes mains qui façonnent et qui laissent tomber toutes protubérances perturbant l’équilibre. Sous cette force de capture, les pleins devenus hiatus laissent place à ce vide où se perdent les regards dans la résurgence d’une mémoire qui sait bien ce qui manque. C’est pourtant de ce dépouillement qu’émerge une nouvelle structure. Rien ne sert d’être timide quand il faut alléger le poids de l’être.
Tout part habituellement d’un sentiment qui m’habite ou d’une image qui me fascine. Une précision se dégage de plus en plus assurée, telle une force tranquille qui n’attend de moi qu’un élan d’émergence du contenu en désir. De par mes plans picturaux, car je peins tout autant, se trouve un geste répété plus ou moins éloigné qui marque le début d’une phase transformatrice. Ces macules de couleurs, telles une histoire racontée, deviennent un moyen de délivrance. Elles redéfinissent tout, tout comme elles évoluent. Dans ce processus de transfiguration, je suis matière à transcendance. Laissant place à plus de lumière qui éclaire les failles et révèle les ombres, ces percées salvatrices d’instinct lumineux m’élèvent et m’invitent à créer, vers la fin de cette manœuvre de reconstruction, à partir d’un substrat magnifié.
Aujourd’hui, j’harmonise et actualise. Demain concrétisation !
Comme n’importe quel corps qui se transforme avec l’âge, la matière à sculpter n’est pas moins soumise à cette manœuvre d’élagage : mes mains qui façonnent et qui laissent tomber toutes protubérances perturbant l’équilibre. Sous cette force de capture, les pleins devenus hiatus laissent place à ce vide où se perdent les regards dans la résurgence d’une mémoire qui sait bien ce qui manque. C’est pourtant de ce dépouillement qu’émerge une nouvelle structure. Rien ne sert d’être timide quand il faut alléger le poids de l’être.
Tout part habituellement d’un sentiment qui m’habite ou d’une image qui me fascine. Une précision se dégage de plus en plus assurée, telle une force tranquille qui n’attend de moi qu’un élan d’émergence du contenu en désir. De par mes plans picturaux, car je peins tout autant, se trouve un geste répété plus ou moins éloigné qui marque le début d’une phase transformatrice. Ces macules de couleurs, telles une histoire racontée, deviennent un moyen de délivrance. Elles redéfinissent tout, tout comme elles évoluent. Dans ce processus de transfiguration, je suis matière à transcendance. Laissant place à plus de lumière qui éclaire les failles et révèle les ombres, ces percées salvatrices d’instinct lumineux m’élèvent et m’invitent à créer, vers la fin de cette manœuvre de reconstruction, à partir d’un substrat magnifié.
Aujourd’hui, j’harmonise et actualise. Demain concrétisation !
Pour nous envoyer une nouvelle
ou un communiqué cliquez ici
Contactez-nous
info@institutdesartsfiguratifs.com
